5h30, mon réveil ne sonne pas, mais celui de Ghislaine oui… Ouf! Le temps d’un dernier Nespresso et nous embarquons les valises dans l’auto. Direction, aéroport Saint-Exupéry. Le vol est prévu pour 10h, l’enregistrement débute à 7h et avant, il faut stationner l’auto, porter les clefs à la consigne et déjeuner. Le soleil se lève sur Lyon. Nous ne sommes pas levés de bonne heure comme cela de tout le voyage. Il n’y a aucun trafic et les indications pour nous rendre à l’aéroport sont claires.
Une fois rendus, nous cherchons le bon stationnement pour y laisser l’auto d’Agnès. Pas évident… Nous entrons dans le P2 et pas certains, nous payons et ressortons. En refaisant le tour, je reviens finalement au P2. Ça nous aura coûté 4€ pour rien. Nous laissons les clés et les papiers à la consigne puis nous nous dirigeons vers le comptoir d’Air Transat pour l’enregistrement. Il n’y a presque personne et nous passons très vite. Pour le passage vers la zone internationale c’est un peu plus long, mais sans plus. Nous prenons une baguette au jambon, une pâtisserie et un dessert puis allons passer le portail de l’immigration française où la fille est plus importante. Nous attendons ensuite l’embarquement. Nous sommes assis au fond de l’avion, dans la queue, là où il n´y a que deux rangées de bancs sur le bord. C’est décidément plus confortable, à part le trafic généré par la présence des toilettes au fond de l’avion. Le vol se passe bien, presque sans turbulences. Sept heures et quelques minutes plus tard, nous apercevons le stade olympique par le hublot. Nous sommes de retour à Montréal, il fait chaud, nous sommes fatigués. Heureusement, Alice et Béthel sont venus gentiment nous chercher. Ce fut un très beau voyage. Merci à tous ceux qui y ont contribué de près ou de loin.