La Twitterpathie

Cette semaine j’ai envie de vous écrire sur une expérience troublante que j’ai vécue lors du colloque «Le Web 2,0, les réseaux sociaux et l’éducation». C’est une expérience transcendante, est au-delà, qui dépasse, surpasse, en étant d’un tout autre ordre (Wikipédia). Cela est survenu lors d’une séance particulièrement intensive de «Twittering» (désolé, malgré les 3 ans d’existence de Twitter, le grand dictionnaire terminologique [GDT] de l’Office québécois de la langue française [OQLF] n’a pas encore de terme français… Dominic Harpin aurait sûrement parlé d’une séance intensive de gazouillage mais je trouve que ça frôle le gaminet)
Nous étions donc une grosse douzaine à clavarder sur Twitter en temps réel pendant les conférences. Clavarder n’est pas vraiment le mot juste, car nous discutions plutôt rarement entre nous. Nous donnions nos impressions sur la conférence que nous étions en train de voir et entendre. Nos messages étaient regroupés à l’aide du «hash tag» «#osmontreal».
C’est à ce moment que je me suis rendu compte à quel point les perceptions du même objet, peuvent être différentes, d’une personne à l’autre. J’ai aussi constaté la richesse et l’enrichissement que cette activité apportait au moment présent. Que de fois j’ai découvert une ligne que je n’avais pas entendue, un angle de vue que je n’avais pas observé, lu un commentaire qui m’a fait dire wow! j’aurais aimé écrire ça…
En y réfléchissant, plus tard, je me suis dit que j’étais en train de lire les pensées des autres Twitteurs, presque en temps réel et c’est ce qui était à l’origine de cette étrange sensation. Une presque télépathie, partiellement, du moins. J’ai trouvé que cela devait être l’expérience la plus proche de la télépathie que j’ai vécue dans la vie, le partage des pensées en temps presque réel, la Twitterpathie. Je vous souhaite de vivre cela un jour, c’est vraiment intensrichissant!

Cette semaine j’ai envie de vous écrire sur une expérience troublante que j’ai vécue lors du colloque «Le Web 2,0, les réseaux sociaux et l’éducation». C’est une expérience transcendante, est au-delà, qui dépasse, surpasse, en étant d’un tout autre ordre (Wikipédia). Cela est survenu lors d’une séance particulièrement intensive de «Twittering» (désolé, malgré les 3 ans d’existence de Twitter, le grand dictionnaire terminologique [GDT] de l’Office québécois de la langue française [OQLF] n’a pas encore de terme français… Dominic Harpin aurait sûrement parlé d’une séance intensive de gazouillage mais je trouve que ça frôle le gaminet)

Nous étions donc une grosse douzaine à clavarder sur Twitter en temps réel pendant les conférences. Clavarder n’est pas vraiment le mot juste, car nous discutions plutôt rarement entre nous. Nous donnions nos impressions sur la conférence que nous étions en train de voir et entendre. Nos messages étaient regroupés à l’aide du «hash tag» «#osmontreal».

C’est à ce moment que je me suis rendu compte à quel point les perceptions du même objet, peuvent être différentes, d’une personne à l’autre. J’ai aussi constaté la richesse et l’enrichissement que cette activité apportait au moment présent. Que de fois j’ai découvert une ligne que je n’avais pas entendue, un angle de vue que je n’avais pas observé, lu un commentaire qui m’a fait dire wow! j’aurais aimé écrire ça…

En y réfléchissant, plus tard, je me suis dit que j’étais en train de lire les pensées des autres Twitteurs, presque en temps réel et c’est ce qui était à l’origine de cette étrange sensation. Une presque télépathie, partiellement, du moins. J’ai trouvé que cela devait être l’expérience la plus proche de la télépathie que j’ai vécue dans la vie, le partage des pensées en temps presque réel, la Twitterpathie. Je vous souhaite de vivre cela un jour, c’est vraiment intensrichissant!