Mon bilan du colloque du MATI

Mon bilan du colloque «Le Web 2,0, les réseaux sociaux et l’éducation»: Êtes-vous «open»?
J’ai assisté hier, en compagnie de mon collègue du CCDMD Denis Chabot, au colloque «Le Web 2,0, les réseaux sociaux et l’éducation», organisé par le MATI, la Maison des technologies de formation et d’apprentissage Roland-Giguère de l’Université de Montréal. Une faune bigarrée de chercheurs, profs, administrateurs, programmeurs, penseurs… de tous les ordres d’éducation.
Un événement fertile et stimulant qui allume les neurones et j’en remercie chaudement tous les organisateurs, conférenciers et artisans de l’ombre qui ont contribué à la tenue de cet rencontre de qualité.
Le mot-clé principal, «Open». Comme dans «Open Source», «Open Acces», «Open ID», «Open Social»… J’ai observé que le monde de l’éducation, pour contrer la dominance des environnements et des formats «propriétaires» à la Facebook, s’oriente vers l’ouverture. Que ce soit par le choix de logiciels à code source libre, par le partage du savoir dans le domaine public ou sa diffusion publique sous licence Creative Commons, la riposte aux multinationales du web s’organise et ses racines seront nourries par le terreau de l’«Open», ce qui est de bon augure pour le futur.
D’autres mots-clés, cette fois des néologismes, ont frappé mon imaginaire. Les Anglais ont ce don pour inventer des mots pour représenter des concepts nouveaux. Les «ProdUsers», les personnes qui utilisent les ressources du Web 2.0 en y contribuant. J’ai tout de suite proposé à l’OQLF le néologisme «utilisauteur». Ou ce concept qui propulse l’idée du constructivisme dans les environnements en réseau, le «connectivisme», tous simplement brillant!
Des concepts, Terry Anderson, entre autres, qui propose de passer de l’idée de «communauté de pratique» à celle de «réseaux de pratique» et celui de faire passer le «constructivisme» au «connectivisme». Ou encore l’idée de passer de l’apprentissage en groupe, à celui en réseaux, à l’apprentissage «Collectif». Une citation, «New emerging pedagogical theories: “connectivism” and “complexity” (learning at the edge of chaos)». Wow! Comment ne pas être chamboulé et positivement stimulé par ces idées. Merci monsieur Anderson.
Des premières pour moi. Une séance intensive de «Twittage» et la compréhension de ce qu’est un «hash tag». Vous pouvez retrouver cette séance de twittage identifiée avec le «hash tag» «#osmontreal». Cela m’a permis de participer à une discussion parallèle en temps réel sur le colloque auquel j’assistais et j’ai ainsi découvert cet événement par les pensées des autres. Très enrichissant et surprenant. Merci aux nombreux Twitters qui ont interagi et alimenté cette discussion. Cela m’a aussi permis de connaître plusieurs nouvelles personnes avec qui j’ai pu discuter en vrai, lors des pauses. Mon carnet de personnes intéressantes que je suis sur Titter a augmenté énormément hier. Twitter a aussi été le médium d’échange privilégié lors de la première journée du colloque, avec plusieurs centaines d’interventions. C’est aussi hier que j’ai subi mon premier «reTwit», c’est-à-dire que des personnes qui écoutent ce que je dis ont redistribué mon message à leur propre réseau… Gratifiant!
Tout cela me fait beaucoup réfléchir et me stimule. J’espère avoir, moi aussi, contribué et enrichi le colloque par mes interventions et c’est là, l’esprit de communauté, l’esprit du collectivisme, qu’il soit branché ou en personne.

Mon bilan du colloque «Le Web 2,0, les réseaux sociaux et l’éducation»: Êtes-vous «open»?

J’ai assisté hier, en compagnie de mon collègue du CCDMD Denis Chabot, au colloque «Le Web 2,0, les réseaux sociaux et l’éducation», organisé par le MATI, la Maison des technologies de formation et d’apprentissage Roland-Giguère de l’Université de Montréal. Une faune bigarrée de chercheurs, profs, administrateurs, programmeurs, penseurs… de tous les ordres d’éducation.

Un événement fertile et stimulant qui allume les neurones et j’en remercie chaudement tous les organisateurs, conférenciers et artisans de l’ombre qui ont contribué à la tenue de cet rencontre de qualité.

Le mot-clé principal, «Open». Comme dans «Open Source», «Open Acces», «Open ID», «Open Social»… J’ai observé que le monde de l’éducation, pour contrer la dominance des environnements et des formats «propriétaires» à la Facebook, s’oriente vers l’ouverture. Que ce soit par le choix de logiciels à code source libre, par le partage du savoir dans le domaine public ou sa diffusion publique sous licence Creative Commons, la riposte aux multinationales du web s’organise et ses racines seront nourries par le terreau de l’«Open», ce qui est de bon augure pour le futur.

D’autres mots-clés, cette fois des néologismes, ont frappé mon imaginaire. Les Anglais ont ce don pour inventer des mots pour représenter des concepts nouveaux. Les «ProdUsers», les personnes qui utilisent les ressources du Web 2.0 en y contribuant. J’ai tout de suite proposé à l’OQLF le néologisme «utilisauteur». Ou ce concept qui propulse l’idée du constructivisme dans les environnements en réseau, le «connectivisme», tous simplement brillant!

Des concepts, Terry Anderson, entre autres, qui propose de passer de l’idée de «communauté de pratique» à celle de «réseaux de pratique» et celui de faire passer le «constructivisme» au «connectivisme». Ou encore l’idée de passer de l’apprentissage en groupe, à celui en réseaux, à l’apprentissage «Collectif». Une citation, «New emerging pedagogical theories: “connectivism” and “complexity” (learning at the edge of chaos)». Wow! Comment ne pas être chamboulé et positivement stimulé par ces idées. Merci monsieur Anderson.

Des premières pour moi. Une séance intensive de «Twittage» et la compréhension de ce qu’est un «hash tag». Vous pouviez retrouver cette séance de twittage identifiée avec le «hash tag» «#osmontreal». Cela m’a permis de participer à une discussion parallèle en temps réel sur le colloque auquel j’assistais et j’ai ainsi découvert cet événement par les pensées des autres. Très enrichissant et surprenant. Merci aux nombreux Twitters qui ont interagi et alimenté cette discussion. Cela m’a aussi permis de connaître plusieurs nouvelles personnes avec qui j’ai pu discuter en vrai, lors des pauses. Mon carnet de personnes intéressantes que je suis sur Titter a augmenté énormément hier. Twitter a aussi été le médium d’échange privilégié lors de la première journée du colloque, avec plusieurs centaines d’interventions. C’est aussi hier que j’ai subi mon premier «reTwit», c’est-à-dire que des personnes qui écoutent ce que je dis ont redistribué mon message à leur propre réseau… Gratifiant!

Tout cela me fait beaucoup réfléchir et me stimule. J’espère avoir, moi aussi, contribué et enrichi le colloque par mes interventions et c’est là, l’esprit de communauté, l’esprit du collectivisme, qu’il soit branché ou en personne.